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CONCLUSION

Nous avons donc vu, à travers ces recherches, que la morphine était un traitement efficace contre la douleur. Cependant, nous ne pouvons pas donner de réponse exacte à cette problématique.

Les scientifiques, eux mêmes, ne sachant pas s'il faut placer la morphine dans la catégorie des "médicaments" ou dans celle des "stupéfiants".

On peut cependant nuancer nos propos.

 

De nos jours, l’usage de la morphine est réglementé dans de nombreux pays.

En France et en Suisse, elle est classée parmi les stupéfiants. La morphine est soumise à une réglementation particulière :

pour la prescription => ordonnance a durée limitée

pour la délivrance => le pharmacien doit la noter sur un cahier, et ne peut pas en prescrire plus qu’il n’est indiquer sur l’ordonnance ;

pour l’usage => uniquement pour les individus qui en ont vraiment besoin.

Les deux formes de la morphine (médicament et stupéfiant) vont de paire ; l’un ne peut pas exister sans l’autre.

Dans les hôpitaux, la morphine est utilisé très souvent grâce à ses effets analgésiques qui sont très appréciés par les patients ; malheureusement les effets secondaires qui classe la morphine parmi les stupéfiants ne peuvent pas être exclus car ils sont pour le plus souvent inévitables; ce qui fait que ses effets secondaires ont été acceptés par l’ensemble de la communauté médicale.

Cependant la morphine est plus considérée comme un médicament que comme un stupéfiant car c’est l’antidouleur le plus efficace utilisé quotidiennement et internationalement.

Mais le côté «drogue» de la morphine n’est pas à exclure. Les hôpitaux continuent de combattre les effets secondaires de la morphine pour que cet analgésique ne soit pas assimilé à un stupéfiant.

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